Ensemble, dans sa commune
Rétrospective sur l’expérience de l'Association des Communes Suisses et des quatre communes pilotes ayant participé au cours des cinq dernières années au projet «in comune». L’ACS en tire un bilan positif.
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Comment promouvoir et renforcer la participation politique et sociale de la population à la vie de sa commune? C'est la question qui a guidé le travail de l’ACS et de quatre communes pilotes dans le cadre du projet «in comune» financé par le programme «Citoyenneté» de la Commission fédérale des migrations (CFM). L’ACS a accompagné les quatre communes dans le développement, la mise en œuvre et l'évaluation de projets participatifs, réalisés grâce aux ressources financières provenant du fonds «in comune». Au total, douze projets ont été réalisés dans les communes de Bühler (AR), Bussigny (VD), Chippis (VS) et Mendrisio (TI).
Bühler et Bussigny: Bien commencé…
Bühler et Bussigny: Bien commencé…
Bühler et Bussigny: Bien commencé…
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Bühler et Bussigny: Bien commencé…
Bühler et Bussigny: Bien commencé…
Bühler et Bussigny: Bien commencé…
Bühler et Bussigny: Bien commencé…
… est à moitié fait! Cette expression convient bien aux débuts du projet «in comune». Dans les deux premières communes concernées, les expériences ont été plus que positives. Dans les deux municipalités, les projets mis en œuvre ont été bien accueillis par la population et de nombreux bénévoles ont participé aux différentes activités. La Municipalité de Bühler dans le Mittelland appenzellois a développé des projets pour toutes les générations – un événement pour les retraités résidents dans la commune, un lieu de rencontre pour les jeunes et une soirée karaoké pour tous les âges. A Bussigny, situé dans la banlieue de Lausanne, l'accent a été mis sur le quartier situé au sud de la gare, considéré comme un peu en marge de la vie sociale du village. La mise en place de potagers urbains dans certains espaces publics, l’organisation du cortège de Noël, du carnaval des enfants et d’un repas en commun ainsi que d’une journée de nettoyage du quartier a été très appréciée par la population, au point que ces événements ont également été organisés les années suivantes.
… est à moitié fait! Cette expression convient bien aux débuts du projet «in comune». Dans les deux premières communes concernées, les expériences ont été plus que positives. Dans les deux municipalités, les projets mis en œuvre ont été bien accueillis par la population et de nombreux bénévoles ont participé aux différentes activités. La Municipalité de Bühler dans le Mittelland appenzellois a développé des projets pour toutes les générations – un événement pour les retraités résidents dans la commune, un lieu de rencontre pour les jeunes et une soirée karaoké pour tous les âges. A Bussigny, situé dans la banlieue de Lausanne, l'accent a été mis sur le quartier situé au sud de la gare, considéré comme un peu en marge de la vie sociale du village. La mise en place de potagers urbains dans certains espaces publics, l’organisation du cortège de Noël, du carnaval des enfants et d’un repas en commun ainsi que d’une journée de nettoyage du quartier a été très appréciée par la population, au point que ces événements ont également été organisés les années suivantes.
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… est à moitié fait! Cette expression convient bien aux débuts du projet «in comune». Dans les deux premières communes concernées, les expériences ont été plus que positives. Dans les deux municipalités, les projets mis en œuvre ont été bien accueillis par la population et de nombreux bénévoles ont participé aux différentes activités. La Municipalité de Bühler dans le Mittelland appenzellois a développé des projets pour toutes les générations – un événement pour les retraités résidents dans la commune, un lieu de rencontre pour les jeunes et une soirée karaoké pour tous les âges. A Bussigny, situé dans la banlieue de Lausanne, l'accent a été mis sur le quartier situé au sud de la gare, considéré comme un peu en marge de la vie sociale du village. La mise en place de potagers urbains dans certains espaces publics, l’organisation du cortège de Noël, du carnaval des enfants et d’un repas en commun ainsi que d’une journée de nettoyage du quartier a été très appréciée par la population, au point que ces événements ont également été organisés les années suivantes.
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
Chippis: faire participer enfants et jeunes à la vie de la commune
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
A Chippis, un village d'environ 1700 habitants situé près de Sion, deux projets ont été développés. Le besoin identifié par la municipalité de mieux répondre aux besoins de la tranche d'âge 18-25 ans a amené à l'élaboration du «projet jeunes». Grâce à une enquête en ligne, puis à des rencontres avec des jeunes de la commune, l'idée de fonder une société de jeunesse avec la participation active des jeunes a émergé. En raison de la pandémie de COVID-19, la société fondée fin 2019 n'a malheureusement pas encore connu un réel démarrage de ses activités. Les travaux sont actuellement en attente, mais tout est en place pour créer un programme intéressant pour les jeunes, dès que la situation le permettra. En développant un projet participatif avec les jeunes, la municipalité a voulu promouvoir indirectement leur éducation civique. Martine Perruchoud, à la tête des dicastères Enseignement, jeunesse et formation et Culture, loisirs et sports, explique que l'objectif global de la municipalité avec ce projet est de favoriser l'intégration et l'éducation civique de cette tranche d'âge. Le «projet cabines» a permis à la commune de transformer deux anciennes cabines téléphoniques en une boîte à jeux et en une petite bibliothèque, qui sont appréciées et utilisées par la population depuis leur ouverture. Accompagnés par Evelyne Emery, animatrice socioculturelle, les enfants ont pu participer à la décoration de la boîte à jeux et ont été sensibilisés à sa bonne gestion.
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
Mendrisio: donner de l’espace aux jeunes
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
À Mendrisio, il a été décidé de développer un projet pour et avec des jeunes âgés de 14 à 19 ans. La ville du sud du Tessin compte aujourd'hui dix quartiers et plus de 15 500 habitants. La municipalité a voulu dès le début se concentrer sur la thématique de la rencontre et de l'inclusion et développer un projet en collaboration avec le Centre jeunesse, une réalité active depuis de nombreuses années. En février 2020, les jeunes ont été invités à participer au projet «Racconta la tua Mendrisio in un progetto video» (Raconte ta ville Mendrisio dans un projet vidéo) et à réaliser des vidéos pour décrire leur ville et leur vie quotidienne. Après une pause assez longue due à la pandémie de coronavirus, certains jeunes ont finalement pu réaliser leurs vidéos. À l’automne, un court-métrage a été réalisé avec le soutien d'un studio de la région avec le titre «Riprendo il mio diritto. La città a modo mio» (Reprendre mon droit. La ville à ma façon»). En italien, le titre contient un jeu de mots, le verbe «reprendre» signifiant à la fois le fait de récupérer son droit de citoyen et le fait de filmer. Luca De Stefano, responsable du Centre jeunesse de Mendrisio, qui a travaillé sur le projet avec les jeunes, définit le résultat un «message de sens». Les jeunes montrent comment ils vivent et habitent les espaces de la ville et illustrent ainsi leur perception de l'espace public. «La vidéo réalisée est un document authentique qui montre comment les filles et les garçons redonnent du sens aux espaces publics. Ils les vivent souvent et les réinterprètent de manière différente et personnelle par rapport à la fonction pour laquelle ils ont été conçus», explique Luca De Stefano. La Ville de Mendrisio espère que la vidéo intéressera également d'autres communes et le canton dans le cadre de projets d'aménagement du territoire.
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
Objectif principal, la cohésion sociale
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
La volonté de travailler sur la thématique de la participation afin de renforcer la cohésion sociale dans leur propre réalité a émergé clairement dans les quatre municipalités ayant participé au projet. Malgré les différences, les projets sélectionnés visent à offrir à la population des possibilités de rencontre et d'échange et à améliorer le dialogue entre les citoyens et les autorités. Le bilan dressé par l'équipe de projet ACS et les autorités responsables des quatre municipalités est positif. Cependant, le projet a également connu quelques difficultés, principalement dues au fait que la mise en œuvre de chaque projet a pris plus de temps que prévu. Les ambitions initiales, selon lesquelles les communes pilotes seraient suivies relativement rapidement par d'autres communes auxquelles l'ACS pourrait fournir une sorte de conseil ciblé n'ont pas été réalisées. Au cours de l'année écoulée, le contexte créé par la situation d'urgence, et notamment l'arrêt des activités récréatives, a encore prolongé les délais et empêché les municipalités de Chippis et de Mendrisio de développer leurs projets comme prévu initialement.
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
«La démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.»
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
La participation: une valeur ajoutée
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Avec le projet quinquennal «in comune», l'ACS a pu se concentrer sur la thématique de la participation au niveau communal en travaillant en étroite collaboration avec les communes pour connaître leurs besoins réels en matière de participation. Les différentes réalités géographiques et linguistiques de notre pays rendent la conception et le développement de projets de participation encore plus intéressants. En ce qui concerne la participation de la population, il n'y a pas de barrières – ni en termes de langue, de géographie, d'âge, d'origine. Un constat partagé par Élodie Morand, responsable du programme «Citoyenneté», qui souligne que «la démocratie est subordonnée à l‘ouverture des possibilités de participation politique à l‘ensemble de la population.» Bien que le projet soit arrivé à son terme, la thématique de la participation reste très importante pour l'ACS. En effet, la participation de la population est un élément fondamental d'une société qui fonctionne. Le système de milice, un des piliers de la politique suisse, repose sur la volonté individuelle de dizaines de milliers de personnes d'exercer une fonction publique dans l'intérêt du bien commun, parallèlement à leurs activités professionnelles et familiales. L'implication de la population dans la planification et le développement local à travers des processus participatifs capables de générer de nouvelles idées et des décisions partagées offre en outre une valeur ajoutée en termes d'acceptation des projets. En bref, la participation des citoyens à la vie (politique) est essentielle à tous les niveaux institutionnels. Et c'est précisément pour cette raison que l'ACS continuera à s'occuper de cette question.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.
Le projet «in comune», visant à promouvoir et à renforcer la participation politique et sociale de la population au niveau communal, a reçu le soutien du programme «Citoyenneté – échanger, créer, décider» de la Commission fédérale des migrations. Le programme soutient des projets qui développent et promeuvent de nouvelles formes de participation; un accent particulier est mis sur l'inclusion des catégories de la population qui ne peuvent pas participer à la vie politique au sens strict. Démarré en 2016, le projet «in comune» a pris fin en décembre 2020. À côté de l'accompagnement des communes pilotes, l'ACS a développé une plateforme en ligne pour la participation au niveau communal, www.in-comune.ch.